Un gigantesque ouragan terrestre se forme aux États-Unis pour la deuxième fois en un mois, alors que le vent solaire est à son niveau le plus bas.
Par : Sorcha Faal, et tel que rapporté à ses abonnés russes.
Il n'y a peut-être pas de mots qui puissent mieux décrire les ouragans terrestres gigantesques qui se sont formés sur le continent nord-américain ce mois-ci que ceux contenant les dates des deux images de ces gigantesques ouragans :
L'utilisation du mot "ouragan" pour décrire ces deux énormes tempêtes nord-américaines est correcte dans la mesure où la définition du mot "ouragan" peut également signifier "Quelque chose qui ressemble à un ouragan par sa force ou sa vitesse", ce qui est le cas de ces tempêtes.
En ce qui concerne les dommages, et les dommages potentiels, de ces gigantesques ouragans terrestres, les pertes ont été sévères.
Les dégâts sont dus aux nombreuses tornades provoquées par les bandes d'alimentation de ces tempêtes et aux inondations associées dues aux pluies torrentielles.
Cependant, ces énormes tempêtes sont d'autant plus importantes qu'elles ne sont pas censées se produire du tout, selon les rapports scientifiques russes, et qu'elles sont les précurseurs d'un risque accru d'instabilité météorologique mondiale que les êtres humains n'ont jamais connu dans leur histoire.
Les scientifiques occidentaux sont d'accord avec leurs homologues russes sur ces événements, et en préparant le peuple de l'Amérique du Nord à des catastrophes météorologiques beaucoup plus importantes dans les mois à venir, nous pouvons en voir la preuve dans ces rapports :
Comme le rapporte le service de presse canadien Globe and Mail dans son article du 11 mai intitulé " Les prévisionnistes prédisent que la majeure partie du Canada sera accablée par la chaleur ", et qui dit : " Dans ses dernières prévisions à long terme, Environnement Canada a mis en garde contre des températures élevées et de faibles niveaux de précipitations de mai à juillet, des conditions météorologiques qui pourraient faire souffrir les citadins et pousser les agriculteurs à prier pour la pluie ".
Comme le rapporte l'agence de presse Reuters dans son article du 10 mai intitulé "New York est avertie de se préparer aux ouragans", et où l'on peut lire : "Un ouragan d'intensité modérée pourrait causer des ravages à New York, car cela fait des années que le centre financier du pays n'a pas été confronté à des conditions météorologiques sévères, ont averti mardi les prévisionnistes du gouvernement".
Le plus surprenant dans ces événements et avertissements dans ces pays occidentaux est la surprise, le choc et l'incrédulité de leur population, en particulier des Américains, au sujet de ces événements et d'autres pires à venir cette année, car c'est le Pentagone des États-Unis qui a précédemment fait part de ses conclusions désastreuses sur le chaos météorologique mondial et dont leur propre population ne semble toujours pas être au courant, comme nous pouvons le lire dans le rapport de Greenpeace News Service intitulé "Banque mondiale, Pentagone : alerte rouge au réchauffement climatique", et qui stipule :
"Un monde bouleversé par la sécheresse, les inondations, les typhons. Des pays entiers rendus inhabitables. La capitale politique des Pays-Bas submergée. Les frontières des États-Unis et de l'Australie patrouillées par des armées qui tirent sur les vagues de boat people affamés qui cherchent désespérément un nouveau foyer.
Des bateaux de pêche armés de canons pour repousser les concurrents. Des demandes d'accès à l'eau et aux terres agricoles soutenues par des armes nucléaires. Cela ressemble aux délires d'extrémistes environnementaux apocalyptiques ? Il s'agit en fait d'un rapport commandé par le Pentagone sur la façon de préparer les États-Unis à l'Armageddon climatique à venir."